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10 septembre 2015

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9 septembre 2015

Nous sommes en permanence à la recherche de documents, photos, plans, etc. apportant des informations inédites sur Viroflay et les environs. Les documents prêtés seront scannés et rendus rapidement. Nous contacter via le site.

Témoignages de la vie économique

 

Les cartes anciennes témoignaient de la vie des villages. Outre les monuments incontournables, châteaux, églises, mairies, écoles, l’activité économique était une source inépuisable de scènes pittoresques : fermes, commerces, ateliers, petits métiers des rues.

EN COURS DE REDACTION

A Viroflay, de par leur nombre, les commerces ont été souvent photographiés. Ces photos contribuaient à la publicité de ces établissements, et les gérants posaient souvent sur la rue avec le personnel. Certains étaient même éditeurs de ces cartes.

Au détour des quartiers, certains commerces seront évoqués par une tentative de chronologie, entre 1900 et les années 1980. Bien sûr, il est très difficile d’être exhaustif et nous sommes demandeurs de détails qui nous auraient échappés. N’hésitez pas à nous contacter.

Au village

- Place de la Mairie

-  Laverie, rue Molière (Mme Guinchard)

-  Horlogerie, Bijouterie, rue Molière (M. Sanson)

-  Coiffure dames en pavillon, rue Molière (Mme N.)

-  Coiffure dames, sur la place (M. Mme Raymond)

-  Boucherie de la Mairie, sur la place (M. Mme Manceau)

Après les années 80, les deux derniers locaux ont été repris par le siège de l’entreprise de mécanique Matraform.

- Rue de Versailles (devenue rue Jean Rey) côté impair

-  Dénommée Boulangerie de Viroflay au début du XXème siècle, et plus récemment Boulangerie du Village, 3 rue Jean Rey, jusqu’aux années 80. Transformée en habitation.

-  Café de l’Hôtel de Ville, déjà établi avant 1910, il a subsisté jusqu’à 2011.

-  Droguerie, marchand de couleurs (successivement maisons Giboulot, Simon, Séry), au niveau de la Fontaine, jusqu’aux années 80. On se souviendra de la devanture en mosaïque de hasard de grès céram. Transformée en habitation et récemment ravalée avec bonheur.

-  Epicerie, au coin de la rue Louvois. Maison Birotus jusqu’à la fin des années 50. Sur la fin, le vieil épicier allait encore aux halles de Versailles et ramenait ses denrées dans une charrette à bras. On venait y chercher son lait au bidon, puisé en vrac. Repris par les époux Reverchon, qui passèrent au nouveau franc et introduisirent la caisse enregistreuse. Ensuite avant 1968, Cours des Halles- Darfeuille. M. Darfeuille faisait les marchés avec un gros camion et utilisait le garage en réserve. L’emplacement a abrité un atelier d’encadrement industriel H.Z. Cadral (cadres aluminium), et ses bruits de sciage stridents, pendant plus de 20 ans. Le musicien Bob Castel y a fait un studio d’enregistrement et la vente d’instruments de musique en refermant le garage. C’est maintenant un logement.

- Rue de Versailles (devenue rue Jean Rey) côté pair

-  Dans les années 50-60, une mercerie (Mme Sicard) fournissait les ménagères en laine (du Pingouin), en coton (DMC) ; elle était typique avec sa devanture en éclat de carreaux bleu vif et sa grille. Au départ de Mme Sicard, et en attente d’une réhabilitation de l’ilot, la ville a repris le local pour en faire une salle d’exposition artistique, ladite Salle Sicard.

-  Café-Billard de l’Elysée, rue de Versailles au début du XXème siècle

-  A la Bonne Brioche (A la renommée de la Brioche), Pâtisserie Arnould, rue de Versailles (4 rue Jean Rey). Les commerçantes vendaient beaucoup sur les marchés (Versailles).

-  Cet alignement de pas-de-portes a vu diverses activités s’établir dans les dernières décennies : église évangélique, organisation de séminaires, agence de travail à domicile, cabinet d’infirmière-soins à domicile, mandataire automobile.

-  Epicerie du Village (Demoiselles Carré), rue de Versailles, jusqu’aux années 80. Reprise d’activité dans les années 90 par une société de prestations en télécommunications, puis par un magasin d’articles pour musiciens (ad libitom) et maintenant de vins et œnologie.

-  Café-Tabac, Place de l’Eglise (maison Forgeon, chez Toto, ... actuellement café Labriz’) . Ce café, au cœur du Village, a été abondamment photographié.

- Rue Rieussec côté pair, en partant de la place de l’Eglise

vue de détail

-  Epicerie fruiterie, puis Café des Aviateurs, angle rue Rieussec - rue de Versailles

-  Pâtisserie (Mme Maurice), 50 rue Rieussec

-  Sylvie coiffure, établie au même niveau lors de la reconstruction des immeubles

-  Pharmacie (Gallier), 48 rue Rieussec ; elle sera transférée en face

-  Hôtel Lespour, puis Boulangerie Pâtisserie (Au Fin Palais), 36 rue Rieussec

-  Pharmacie Vigor (Pirouelle), créée après l’arrivée importante de population lors du lotissement du Clos St Vigor

- Rue Rieussec côté impair, en partant de la place de l’Eglise

vue de détail

Au début du XXème siècle, il n’y avait pas de commerce après le café, seulement le mur de la villa St Etienne. La construction à la place des immeubles en brique (1932-35) prévoyait des boutiques en rez-de-chaussée. On notera aux 27-29 rue Rieussec :

-  Poissonnerie (maison Dromer)

-  Vins (Ets Nicolas), puis restauration de meubles jusqu’en 2020.

-  Pharmacie (Ghislain Gaudefroy, puis Martine Poly). Après cessation d’activité, le local a été transformé et depuis septembre 2020 abrite une agence immobilière ERA.

-  Fleurs Couronnes (Claire), puis fleuriste L’Alchimiste, ensuite salon de tatouage et actuellement un "tiers-lieu" Cantine de Gaïa.

-  Coiffeur hommes (M. Sounilhac), puis Photographe, Entreprise générale de bâtiment et actuellement livres de seconde main. Au salon de coiffure, dans les années 60, il y avait la presse et priorité en fin d’après-midi pour les passagers, venus se faire ’rafraîchir’ la coupe entre deux trains en correspondance.

-  Cordonnerie (M. Mme Kassemian), actuellement Clé-minute, cordonnerie

-  Epicerie (M. Mme Houvet)

-  Agence Immobilière de la Gare, puis Librairie du village (Jean Le Berre, puis Chartrain, puis Couvreur) des années 1950 à 2010, puis Sylvie Coquet coiffure. Après reprise par un coiffeur indépendant, cette boutique abrite Gaïa, un épicier primeur bio.

Route Nationale entre les Arcades et Louis XIV côté pair

-  Restaurant - Au rendez-vous des vélocipédistes

-  Blanchisserie Chesneau

-  Bamberger, première superette

-  Concession automobile Nissan (Auto-play)

-  Poste d’essence

-  Café Merciol, angle Ecole des Postes

-  élevage amateur du Bois des Saules, chiens bergers de Brie, M. F. Tourneur, 162 Route nationale en 1949

Route Nationale entre les Arcades et Louis XIV côté impair

-  Menuiserie Divouron

-  Laiterie Hauser, angle Corby - RN, maintenant Auto-Ecole

-  Droguerie-Ménage, toujours active

Route Nationale entre Arcades et Grâce-de-Dieu, côté pair

-  Boucherie des Arcades (Maison Ovigny)

-  Les coopérateurs

-  Source Bottier (eau La Désirée)

-  café le Sélect, maintenant boucherie

-  cinéma le Sélect, puis Caverne des Particuliers, brocante, maintenant Franprix

-  cordonnier chaussures, maintenant salon d’esthétique

-  marché couvert

-  Meubles Reutemann

-  A l’Ecu de France

Route Nationale entre Arcades et Grâce-de-Dieu, côté impair

-  Maison Rasquin

-  Hôtel Becker-Bracony

-  Franprix, puis Marché U et maintenant Super U (Monsieur Jacquin) après agglomération de surfaces dans deux immeubles

Route Nationale entre Grâce de Dieu et Pointe de Chaville côté impair

-  Epicerie, angle rue Dailly, maintenant Banque populaire

-  boucherie Célerié (repris par Banque Populaire)

-  salon d’esthétique (anciennement Mme Koubesserian ; M. Charly Koubesserian était le coiffeur attitré de J.-P. Belmondo)

-  café de l’Europe

-  Boulangerie Bourlier, maintenant Boulangerie Antoine, à l’angle de la rue de la Côte

-  garage Cabiron, depuis 2014 démoli pour faire place à l’immeuble Grand-Angle.

-  concession automobile Peugeot (Courtois)

-  droguerie-ménage, maintenant Vignobles (ex Bag in Box), débit de vins en vrac (cubis)

Route Nationale entre Grâce de Dieu et Pointe de Chaville côté impair

-  restaurant La Douce France

-  Fournil des Rois

La Saussaie / Gabriel Péri, partie basse

-  Café Allons chez Paul. Seule l’activité d’épicerie portugaise est ouverte.

-  Agence Immobilière Lepetit (Clément-Lepetit)

-  Blanchisserie Ch. Jeanne

La Saussaie / Gabriel Péri, partie haute, près gare Rive Droite

-  Café A la Descente de Bois

-  Cordonnerie

-  Coiffure (M. Houdiarne)

Le Haras

rue Amédée Dailly

-  épicerie du Châlet, rue Dailly, angle rue Guizot

-  coiffure en appartement, angle rue Dailly - rue Pierre Grenier, (Mme Saillofest "chez Marguerite")

-  Café des Sports jusqu’en 2012, puis Garance & Lila, bijoux fantaisie

rues du Haras

-  café, siège de la commune libre du Haras,

-  épicerie, librairie

Chaville-Vélizy

Rue de Jouy

-  Restaurant Valroff - Les Marronniers, avec jardins, maintenant Franprix et salon de coiffure (côté Chaville, juste avant le pont ferroviaire)

-  café le Globe, puis restaurant La Popote des Ailes (Mme et M. Puyade)

Bd des Trois Gares (Bd de la Libération) et place de Verdun

-  La Bonbonnière, boulangerie, pâtisserie, confiserie

-  Agence immobilière des 3 Gares

-  Hôtel des Trois Gares. La rue des 3 gares partait de là pour aller vers Chaville Rive Gauche puis Chaville rive Droite, maintenant bd de la Libération.

-  Bar tabac PMU - La Rotonde

-  transports Gaubert, Louis et Francine, dépôt à la hauteur du 10-12. Ce grand lot a été repris par des superettes (Lidl, Aldi, carrefour city)

-  garage des 3 Gares, angle Gaston Boissier

-  cinéma La Cigale, angle Gaston Boissier


mise à jour novembre 2020