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De nombreux sites cartophiles ont été rassemblés pour vous dans la rubrique Liens, article Sur la Toile. Ne manquez pas d’y aller pour des visites virtuelles variées.
En rédigeant l’article Des cartes sur la Toile, j’ai découvert une série de photos de Viroflay datant de 1905. Elles représentent la Villa bon repos et un étang (donc pas sur le territoire de la commune). Une recherche sur Chaville donne trois photos d’un étang. Ces photos proviennent de la base de données Mémoire mise à disposition par le ministère de la culture.
La commune est bordée par des forêts domaniales, au sud et au nord. Le principal massif est le bois de Meudon, qui va continûment de Clamart à Versailles-Porchefontaine, en bordant Sèvre, Chaville, Vélizy et Viroflay. Le massif de Fosses-Reposes se développe de l’autre côté de la vallée du Rû de Marivel, de Saint-Cloud à Marnes-la-Coquette et au Chesnay, presque déchiré par l’enclave de ville-d’Avray.
Les étangs sont présents dans une zone qui fut forestière il y a bien longtemps. Voir notre article sur les étangs.
Pour produire du bois de chauffage (chêne) ou des éléments de clôture (châtaigner) l’exploitation forestière était artisanale, aux mains de bûcherons qui vivaient dans les bois avec leur famille. Il faut être prudent sur les localisations, plusieurs CPA montrant une réutilisation de photo avec mention Chaville, Vélizy, Clamart ou Meudon.
Depuis l’Ancien Régime, la glace et la neige collectées en hiver sur les étangs étaient débitées et conservés dans des puits enterrés, en pierre. On y conservait la glace qui était prélevée progressivement aux beaux jours pour assurer le rafraîchissement des boissons et des plats sur les tables riches. Au début du XXème siècle, cette exploitation florissait toujours. Des porteurs assuraient la récupération de pains de glace pour les restaurants notamment.
Les glacières étaient nombreuses en région parisienne.
Celles de Versailles étaient naturellement importantes, et l’article suivant donne des détails :
A ne pas confondre avec celui de Viroflay, il participe du même souci de fixer des lieux de pélerinage.
