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19 février 2016

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Sites cartophiles

19 février 2008

De nombreux sites cartophiles ont été rassemblés pour vous dans la rubrique Liens, article Sur la Toile. Ne manquez pas d’y aller pour des visites virtuelles variées.

Photos anciennes de Viroflay

24 août 2005

En rédigeant l’article Des cartes sur la Toile, j’ai découvert une série de photos de Viroflay datant de 1905. Elles représentent la Villa bon repos et un étang (donc pas sur le territoire de la commune). Une recherche sur Chaville donne trois photos d’un étang. Ces photos proviennent de la base de données Mémoire mise à disposition par le ministère de la culture.

Hôtel Aimery, les Feuillantines

 

En partant du Village, la rue de Versailles passe d’abord le long de l’hôtel Aimery.

La rue de Versailles dans sa partie qui monte du Village. A gauche un immeuble de rapport puis l’hôtel Aimery. CPA (coll. part.)
La rue de Versailles dans sa partie qui monte du Village. A gauche un immeuble de rapport puis l’hôtel Aimery. CPA (coll. part.)

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L’Hôtel Aimery

L’école de garçons fondée par monsieur Fournier occupait l’hôtel seigneurial Aimery à la fin des années 1930. Elle a été reprise par M. Meunier sous le nom d’Institution de Jeunes Gens jusqu’aux années 70. De réputation, la discipline y était sévère et utilisée comme menace par les parents : "Attention où je t’envoie chez Meunier !". LE lieu a été reconverti en Conservatoire de musique.

Porche d’entrée de l’école de garçons de M. Meunier qui occupait l’hôtel seigneurial Aimery jusqu’aux années 70. (coll. part.)
Porche d’entrée de l’école de garçons de M. Meunier qui occupait l’hôtel seigneurial Aimery jusqu’aux années 70. (coll. part.)

Détail du panneau de présentation.
Détail du panneau de présentation.

Entrée de l’école Meunier. Cour pavée. CPSM années 1950
Entrée de l’école Meunier. Cour pavée. CPSM années 1950

Cour de récréation de l’école Meunier. CPSM années 1950
Cour de récréation de l’école Meunier. CPSM années 1950

Les Feuillantines

Au XIXème, une maison fut construite le long de la rue de Versailles du côté droit, après les premiers immeubles. Elle desservait un charmant parc de près de deux hectares, planté de grands arbres, qui allait jusqu’au cimetière. La propriété appartenait à la famille Chaix (indicateurs des chemins de fer).

Lors du percement de la tranchée pour le passage des trains en 1839-1840, le terrain a perdu une bonne part de sa superficie et une passerelle fut construite pour relier les deux parties - tout comme pour le clos Saint-Vigor.

L’ingénieur et industriel Jean Rey acquit la propriété et y vécut jusqu’à son décès en 1935. Son nom fut alors donnée à la rue de Versailles. En 1954, la succession vendit à une société d’HLM "Pro-Construire" pour réaliser un ensemble de 94 logements en 7 immeubles. Une servitude "non aedificandi" fut imposée et les immeubles sont significativement en retrait de la rue Jean Rey, en prévision d’un changement de gabarit de la rue.

La villa Les Feuillantines vers 1920. Cette villa, détruite en 1954 était à la hauteur de l’entrée actuelle de la résidence des Feuillantines. Cliché V. de Mestral.
La villa Les Feuillantines vers 1920. Cette villa, détruite en 1954 était à la hauteur de l’entrée actuelle de la résidence des Feuillantines. Cliché V. de Mestral.

Détail des occupants dans le parc.
Détail des occupants dans le parc.

Chantier des Feuillantines au printemps 1955. Sur la rue Jean Rey, le bâtiment A et l’Orangerie (coll. part.)
Chantier des Feuillantines au printemps 1955. Sur la rue Jean Rey, le bâtiment A et l’Orangerie (coll. part.)

Chantier des Feuillantines au printemps 1955. Au fond, le bâtiment D et les pavillons de la rue Jean Mermoz qui étaient reliés par une passerelle au dessus des voies ferrées. (coll. part.)
Chantier des Feuillantines au printemps 1955. Au fond, le bâtiment D et les pavillons de la rue Jean Mermoz qui étaient reliés par une passerelle au dessus des voies ferrées. (coll. part.)

Chantier des Feuillantines au printemps 1955 (bâtiment C). On voit au fond deux pavillons de la rue Jean Mermoz qui faisaient partie de la même opération immobilière (coll. part.)
Chantier des Feuillantines au printemps 1955 (bâtiment C). On voit au fond deux pavillons de la rue Jean Mermoz qui faisaient partie de la même opération immobilière (coll. part.)

En 1955, la résidence des Feuillantines remplace une maison du même nom appartenant à la famille de Jean Rey - à l’emplacement du porche - en conservant une partie du grand parc de 1ha.  (coll. part.)
En 1955, la résidence des Feuillantines remplace une maison du même nom appartenant à la famille de Jean Rey - à l’emplacement du porche - en conservant une partie du grand parc de 1ha. (coll. part.)

Résidence des Feuillantines vers 1957. L’entrée dans le parc et les bâtiments E. CPSM bord dentelé, grand format. (coll. part.)
Résidence des Feuillantines vers 1957. L’entrée dans le parc et les bâtiments E. CPSM bord dentelé, grand format. (coll. part.)

Résidence des Feuillantines vers 1957. Le bâtiment D au fond du parc. CPSM bord dentelé, grand format, CIM - Combier imprimeur, Mâcon, photo véritable, dos divisé, non circulée. (coll. part.)
Résidence des Feuillantines vers 1957. Le bâtiment D au fond du parc. CPSM bord dentelé, grand format, CIM - Combier imprimeur, Mâcon, photo véritable, dos divisé, non circulée. (coll. part.)

Mise à jour 15 mars 2021